29.7.10

papillon

tu as ouvert la fenêtre
ils ont volé, nos yeux
ils ont été effondrés par les ciels
et ils ont laissé la sang en couvrant l'espace

jusqu'à la millieu des champs
on arriverai sans air dans la poitrine
nous nous embrasserons en séche
jusque revenir en poussière

l'air n'a pas été tel seul comme le jour
que l'eau s'est gelé dans le coeur de la mer;
le poison du glace grondit avec une électrification
magnifique, magnetique, magnifique

la lune réclama un mort

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